Le 1er avril 2024, les États-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé un partenariat sur la science de la sécurité de l’IA.
Collaboration étroite entre les instituts de sécurité de l’IA
- Les instituts de sécurité de l’IA des États-Unis et du Royaume-Uni travailleront en étroite collaboration.
- Ils s’associeront sur la recherche, les évaluations de sécurité et les directives pour la sécurité de l’IA.
- Les instituts développeront des capacités partagées grâce au partage d’informations, à une coopération étroite et à des échanges d’experts.
Signature d’un protocole d’accord
- Les États-Unis et le Royaume-Uni ont signé un protocole d’accord pour développer des tests pour les modèles d’IA les plus avancés.
- Le partenariat vise à aligner les approches scientifiques et à accélérer les suites d’évaluations robustes pour les modèles, systèmes et agents d’IA.
Plans des instituts de sécurité de l’IA
- Les instituts ont prévu de construire une approche commune des tests de sécurité de l’IA.
- Ils partageront leurs capacités pour relever efficacement les défis liés aux risques.
- Ils prévoient d’effectuer au moins un exercice de test conjoint sur un modèle accessible au public.
- Ils exploreront les échanges de personnel entre les instituts pour tirer parti d’un pool collectif d’expertise.
Nécessité d’agir maintenant
- L’IA continue de se développer rapidement, et les gouvernements reconnaissent la nécessité d’agir maintenant.
- Une approche partagée de la sécurité de l’IA est essentielle pour suivre le rythme des risques émergents de la technologie.
- Les pays s’engagent à développer des partenariats similaires avec d’autres pays pour promouvoir la sécurité de l’IA dans le monde.
Déclarations des secrétaires d’État
- Gina Raimondo, secrétaire au Commerce des États-Unis, souligne l’importance de la collaboration pour accélérer le travail des instituts et relever les défis de l’IA.
- Michelle Donelan, secrétaire d’État britannique à la Science, à l’Innovation et à la Technologie, qualifie l’accord de moment historique et insiste sur la nécessité de travailler ensemble pour exploiter le potentiel de l’IA en toute sécurité.
Partage d’informations vitales
- Les deux pays partageront des informations essentielles sur les capacités et les risques associés aux modèles et systèmes d’IA.
- Ils partageront également des recherches techniques fondamentales sur la sécurité de l’IA.
- Cela soutiendra une approche commune des tests de sécurité de l’IA et permettra aux chercheurs du monde entier de se rassembler autour d’une base scientifique commune.